L’année 2019 a d’abord été marquée  par l’avènement d’un nouveau Président de la République, porteur d’un projet politique – l’initiative pour l’émergence de Madagascar – qui place la gouvernance au cœur de ses préoccupations.

Pour
le CSI, une nouvelle Présidente, Sahondra RABENARIVO, juriste d’entreprise, a
été nommée.

Au
début du mois de mars, un team building a rassemblé, pour la première fois, les
acteurs directs de la lutte contre la corruption, à savoir le CSI, le BIANCO,
le SAMIFIN, le Pôle Anti-Corruption et le Ministère de la Justice. Rencontre
fructueuse qui a jeté les bases d’une solide compréhension des rôles de chacun.

Autre
changement majeur : le recrutement du quatrième directeur général du
BIANCO, au terme du mandat de cinq ans prévu par la loi. Dans la foulée, une
loi attendue depuis longtemps a été adoptée par ordonnance, celle sur le
recouvrement des avoirs illicites. Dernier maillon de la chaine juridique
anti-corruption, elle ouvre la voie au rétablissement d’une justice
élémentaire, celle de priver les malfaiteurs du fruit de leurs forfaits et
d’une équité économique, celle de rendre à l’État ce qui lui est dû.

Poursuivant
sur sa lancée, le CSI a initié trois études qui fourniront les bases
d’ajustements nécessaires : l’évaluation à mi-parcours de la stratégie
anti-corruption adoptée en 2015, l’élaboration d’une politique nationale de
bonne gouvernance et l’analyse des indices internationaux de corruption et de
gouvernance.

Ces trois
études se font avec l’appui de deux partenaires familiers des réformes de
gouvernance à Madagascar : le Programme des Nations-Unies pour le
Développement et l’Union Européenne.

Elles
permettront au CSI de jouer pleinement son double rôle institutionnel de
coordonnateur du système anti-corruption et de promoteur de la bonne
gouvernance. Ces deux fonctions se complètent pour soutenir un développement
sain et équilibré.

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